Quand on me demande ce qu’il fait dans la vie, je réponds qu’il est aventurier.

Mon ami Constantin de Slizewicz est parti il y a 10 ans en Chine. Il y réalise de photoreportages, des articles et des documentaires, pour les presses Françaises et Chinoises. Il est peu tête brulée et sa plume est d’or.

Il vient de faire publier son troisième livre. Après « Peuples oubliés du Tibet « , « les canonnières du Yang-Tsé-Kiang », est sorti « Ivre de Chine » aux Editions Perrin, un récit de voyage, ou il raconte comment il a traversé la Chine d’est en ouest à bord d’un side-car piloté par son ami Alexandre.
A l’occasion de ce périple durant lequel ils vont avaler autant de spiritueux que de kilomètres, Constantin évoque ses 10 années passées en Chine.

Servi par un français remarquable autant que fleuri, il nous emmène le long de son voyage. Il y a des poupées de cabaret qui jouent aux dés et boivent du ganbei, des gros chinois, forces tranquilles aussi douillettes que des pandas, qui peuvent se transformer en homme de main prêts à infliger de bonnes bastonnades, des rescapés de Tien Anmen aux allures de princes déchus et une galerie de personnages colorés.

Cette perle, tu peux l’attraper là où bien dans une librairie, et fait passer parce là, que c’est du bon, du très bon.

240-ivre-de-chine